Upinsky Arnaud-Aaron


Upinsky Arnaud-Aaron - L'auteur

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L'Auteur
Mathématicien, Épistémologue, Linguiste,
Expert en systèmes logiques.
Arnaud-Aaron Upinsky est mathématicien, épistémologue, linguiste, expert en systèmes logiques, historien des sciences, titulaire d’une chaire d’épistémologie (1998), auteur de livres et d’articles de référence, il est depuis 2007 président de l’Union Nationale des Ecrivains de France (UNIEF).

Arnaud-Aaron Upinsky
  • Références, recherches et combats de société. Ses recherches sont centrées sur le pouvoir du langage, la mutation des sociétés et des modes de pensées. Depuis trente ans, il est au cœur des grands combats de société : réforme des « mathématiques, modernes » annonçant la crise scientifique actuelle ; réforme de l’enseignement ( Ses travaux sont la référence de la réforme des lycées de 1985 sur le rééquilibrage des lettres et des sciences lancée par J.-P. Chevènement ) ; dénaturation du débat politique par le biais des mathématiques ( systèmes électoraux ) ; défense de l’institution judiciaire ; lutte contre la contrefaçon littéraire ; défense de la déontologie du débat scientifique (Linceul de Turin) ; révélation de la théorie des ensembles politiques et de la Guerre de représentation, au cœur de la Construction européenne ; défense de la liberté d’expression ; mise en cause de la loi de 1881 devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), pour mise hors la loi de la vérité ; combat culturel de défense du droit d’auteur (CPI) et du droit moral du patrimoine (Versailles).
Epistémologie du Linceul et mythe du C14. C’est en raison de ses travaux d’épistémologie qu’il fut appelé à faire la synthèse épistémologique du Linceul de Turin au symposium de Paris (1989). Il fit sensation en y donnant sa réponse épistémologique à la datation au C14 qu’il déclara « scientifiquement fausse », déclaration catégorique faite vingt ans avant que cette vérité ne triomphe. Comme directeur du symposium de Rome de juin 1993, il présida à l’ultime évaluation du Linceul par la communauté scientifique internationale, engagée dans les recherches, au sein de laquelle il joue un rôle décisif. Aujourd’hui, en 2010, l’effondrement du mythe de la datation au C14 - « lâchée » par tous et succombant jusque dans les média d’une manière définitive avec l’émission d’ARTE du 3 avril 2010 -, les conclusions de son épistémologie d’ensemble du Linceul ayant triomphé, plus rien, ne s’opposant à la reconnaissance de la vérité du Linceul, il passe maintenant à l’étape suivante, dans son dernier livre « L’Eglise à l’épreuve du Linceul », pour demander que l’Eglise tire désormais toutes les conséquences de la nouvelle situation apparue à l’heure de l’ostension de 2010.
L’heure de vérité pour l’Eglise. Il demande que le Saint Siège, propriétaire du Linceul, aligne sa position sur celle de la Science qu’elle dit respecter :
- Qu’elle tourne la page de la fausse définition du Linceul proclamée par le custode pontifical : « C’est une icône, pas une relique » ;
- Qu’elle reconnaisse que l’Homme du Linceul est bien Jésus de Nazareth, personnage historique mort vers l’an trente de notre ère ( tel que le Symposium de Rome, assemblée représentative de l’ensemble de la communauté scientifique internationale engagée dans les recherches, l’a identifié officiellement en 1993) ;
- Qu’elle initialise la procédure d’authentification de la relique la plus insigne de la chrétienté.
En agissant ainsi, l’Eglise ne fera que renouer avec le fil interrompu, par la datation au C14, de sa reconnaissance de la vérité, dont elle s’est toujours réclamée, pour confirmer les proclamations d’authenticité des Papes Sixte IV et Jules II, en parfait accord, d’ailleurs, avec le « statut liturgique du Linceul » et la « messe du Saint Suaire » toujours en vigueur.



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Upinsky Arnaud-Aaron - Pour la Vérité du Linceul

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LA VERITE SUR LE LINCEUL DE TURIN
  Pourquoi ce site ?
La vérité, clef de voûte de la Civilisation européenne, est actuellement en crise. Le Linceul de Turin, à la charnière du scientifique et du religieux, est le révélateur hautement significatif de cette situation de fuite devant l’exigence de vérité.
L’Eglise n’a toujours pas reconnu l’authenticité du Linceul
Lors de son Ostension, le Linceul sera exposé à la dévotion des fidèles « comme si » il était l’authentique Linceul du Christ et donc comme une Vérité. Mais l’Eglise n’a toujours pas reconnu son authenticité, son custode pontifical disant au contraire que « C’est une icône, pas une relique ». Devant le paradoxe d’une telle ostension, un critique s’est même écrié : c’est comme si on disait aux fidèles : « Venez-voir mon faux ! »
Qui est l’Homme du Linceul ? 
Image du Christ, d’un criminel ou d’un supplicié, il faut trancher ? Il n’est plus possible de présenter l’Homme du Linceul « comme si » il était le Christ sans prouver son authenticité. C’est donc l’heure de vérité pour l’Eglise et pour le Saint Siège, propriétaire du Linceul, qui se doivent d’engager le processus de reconnaissance officielle comme ils l’ont toujours fait.
L’identification scientifique du Linceul est acquise
Objet scientifique écrit en langage scientifique pour les scientifiques, le Linceul est une pièce archéologique unique, la mieux mesurée au monde depuis 110 ans. L’identification de l’Homme du Linceul a été officiellement reconnue à Rome, en 1993, par la Communauté scientifique internationale la mieux qualifiée. Pourtant cette vérité est toujours interdite dans les média qui, étrangement, censurent la suprématie de la recherche française au profit des travaux anglo-saxons.
Le brouillage médiatique verrouille l’authentification par l’Eglise
Le monologue de l’information qui, depuis le 1er avril 2010, caractérise la couverture médiatique de l’ostension du Linceul, cache l’acquis de l’authenticité scientifique et fait croire que « le mystère reste entier(*) ». Ce brouillage a révélé l’urgence de créer un site de référence, synthétique, donnant une « compréhension optimum » avec une « information minimum » pour :
1.       Cibler l’enjeu d’authentification par l’Eglise,à l’heure de l’ostension d’avril 2010 (Editorial) ;
2.       Discerner l’essentiel des « règles du jeu » de l’authentification (Démonstration) ;
3.       Rétablir la vérité de la recherche, principalement française ( Livres de référence ) ;
4.       Décrypter et assurer le suivi de la bataille de l’information en cours ( Revue de presse) ;
5.       Coordonner  les « informations utiles » au triomphe de la vérité et à la reconnaissance officielle du Linceul de Turin en bonne et due forme ( Documents, Communiqués, Newletters, Contacts ).
Pourquoi ce site ? Parce qu’après cent-dix ans de recherches incomparables ; après la reconnaissance de l’authenticité par la Science ; après l’effondrement du mythe de la fausse datation au C14 ; après de tels acquis, la fausse définition du Linceul comme « une icône, pas une relique » n’est plus acceptable. L’Eglise, qui dit respecter la Science, doit donc admettre son verdict et s’aligner au plus vite sur le statut scientifique du Linceul : sur son authenticité !
* « En attendant le grand Suaire », Le Nouvel Observateur, p. 88, 1er avril 2010.



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Upinsky Arnaud-Aaron - L’exigence de vérité

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L’exigence de vérité !
LA DEMONSTRATION
La gloire de l’intelligence
La gloire de l’intelligence est dans sa capacité à révéler la réalité, au sens le plus large. L’expertise d’un objet, quel qu’il soit, exige une méthode intellectuelle intimement liée à sa  nature propre. Ce qui faisait dire à Pascal que la méthode doit être tirée de l’objet lui-même. Idéalement, il doit donc y avoir une méthode d’expertise par objet et nulle pièce archéologique n’est plus justiciable de cette nécessité que le Linceul de Turin.
L’exigence de vérité
C’est à cette exigence de vérité intrinsèque que s’est soumise la démonstration scientifique de l’authenticité du Linceul, présentée au Symposium de Paris (1989) et prouvant que la datation au C14 était fausse. C’est elle qui a triomphé au Symposium de Rome (1993), entraînant la reconnaissance officielle de l’authenticité scientifique du Linceul, à l’unanimité, et qui, après le retrait du British Museum (1990), n’a cessé d’être confirmée par les faits et par les travaux ultérieurs jusqu’en 2010.
Faux ou authentique ? La nécessité d’un jugement pour trancher
En 1988, la datation au C14 avait introduit une contradiction épistémologique imposant un jugement de vérité rendue nécessaire pour départager deux évaluations opposées du Linceul : celle de l’authentique, qui triomphait après les travaux du STURP en 1978, et celle du faux,  imprudemment soutenu pat le British Museum en 1989. Deux contradictoires ne pouvant toutes deux se réclamer de la Science, il fallait trancher par un jugement de vérité relevant du recours à l’épistémologie, science des sciences et tribunal des sciences. Telle est l’origine du recours à l’épistémologie globale présentée au Symposium de Paris et dont la réédition est rendue nécessaire par l’actuel parti pris d’ambiguïté, adopté aujourd’hui par les média et par ceux qui poussent à conserver l’optique de 1988 alors que la page scientifique en est tournée. 
L’approche méthodologique
En 2010 comme en 1989, pour parvenir à la conclusion scientifique, c’est-à-dire certaine, la méthode d’expertise exige de respecter les principes suivants et de considérer que :
1)      Le Linceul est, avant tout, un objet scientifique, écrit en langage scientifique sans l’usage duquel nul ne peut comprendre un seul mot ; il faut donc séparer le scientifique du « religieux » à mettre à part dans une « boîte noire » ;  
2)      Il exige un jugement de Vérité spécifique relevant d’une épistémologie globale ;
3)      Seule l’autorité scientifique de la communauté scientifique internationale, représentative, exhaustive ( et donc interdisciplinaire ) et conclusive, réunie en assemblée, pouvait validement faire la proclamation officielle de ce jugement de Vérité scientifique. Ce qui fut fait à Rome en 1993, validant par là même la Démonstration. .
La méthode «  crémaillère »
Le principe de la méthode d’authentification « à engrenage » est simple. Puisque le Linceul « existe » c’est qu’il a un générateur, parmi les cinq suivant : un artiste, un faussaire, un homme crucifié (inconnu), le vrai linceul de Jésus, le vrai linceul des évangiles. Authentifier le Linceul revient à identifier, pas à pas, un de ces cinq cas. Dès 1989, l’épistémologie d’ensemble du Linceul a permis de conclure à l’authenticité du Linceul et à la fausseté de la datation au C14, à partir de la table épistémologique suivante visualisant l’ensemble de la problématique ( L’Eglise à l’épreuve du Linceul, p. 94 ) :
Les faits ont validé ces cinq cas, à Turin (1978), à Paris (1989), à Londres (1990), à Rome (1993) et le dernier à Paris, pour le centenaire scientifique du 1998, dans édition de L’Enigme du Linceul (Fayard)
De l’ambiguïté du C14 à celle du « Mystère »
Pourtant, à l’ouverture de l’Ostension de 2010, au lieu de tirer les conclusions qui s’imposent après le naufrage du C14 de 1988, au nom du « mystère » on voudrait maintenir l’opinion dans l’ambiguïté introduite en 1988 par sa fausse datation. Le C14 est mort, vive le « mystère » …
Les deux impératifs de 2010
Les « effets spéciaux » sur le « mystère » envahissant les média et l’édition empêchent de voir l’Evidence et l’essentiel de l’actualité scientifique qui porte aujourd’hui sur deux impératifs :
♦  Obtenir la reconnaissance officielle de l’authenticité ( scientifique ) par l’Eglise ( qui dit  respecter le verdict de la science ) est la première priorité. Le lâchage  du C14 ( seul obstacle après les travaux du STURP en 1978 ), étant rendu manifeste par l’émission d’ARTE du 3 avril 2010, la reconnaissance de l’authenticité devrait être quasi « automatique » ;
♦  Tirer les conclusions de l’atteinte à la déontologie, scientifique et  journalistique, par la datation au C14, pour reconnaître  :
1.      Au plan de la déontologie scientifique, qu’elle a été présentée comme un sommet scientifique, alors qu’elle s’était mise hors la loi du modèle scientifique interdisciplinaire ; qu’il faut en revenir à la méthode de datation interdisciplinaire ;
2.      Au plan de la déontologie journalistique, que sa couverture médiatique a été faite en empilant des « opinions » biaisées, en faisant de fausses symétries, en jouant sur un prétendu clivage « religieux » qui empêcherait de conclure, en cachant au public la véritable réalité scientifique : en particulier l’acquis décisif de la recherche française,  l’autorité des Symposium de Paris (1989) et de Rome (1993), et même celle du British Museum (1990) en matière de faux, pour ne parler que la recherche anglo-saxonne, par surcroît tronquée et biaisée.
Pas de méthode, pas de vérité
Sans méthode, il ne saurait y avoir de jugement de vérité possible. L’aveuglement sur l’essentiel, c’est ce à quoi conduit l’introduction du sensationnel et du divertissement médiatique, là où il faut du sérieux, de la méthode de la continuité. Le refus des média de respecter la déontologie scientifique, au profit des effets spéciaux voire spécieux sur le « mystère », constitue un procédé de brouillage de l’acquis du « statut scientifique du Linceul » justifiant, de fait, le verrouillage de l’authentification par le Saint Siège.
Une bataille à l’envers
Ce brouillage est d’autant plus facile à entretenir que, depuis l’origine, le Linceul est l’objet d’une bataille à l’envers opposant religieux et historiens ( opinant pour le faux, par défaut de méthodologie ), d’un côté, aux artistes et aux scientifiques ( démontrant l’authenticité directement ), de l’autre. Le procédé médiatique du « micro trottoir » fait ici merveille en jouant sur l’opinion ( la « foi » ), l’ennemi de toujours de la pensée, de la science et de la raison.
Le nécessaire retour aux découvertes françaises
Comble de confusion, on donne la parole ou l’écrit sans faire les distinctions qui s’imposent sur l’autorité et le degré de crédibilité des intervenants en mêlant indistinctement : fondateurs historiques des premières années, inventeurs notables, acteurs scientifiques, théologiens, copieurs, journalistes en mal de papier, illusionnistes, vaniteux, amuseurs, voire contrefacteurs. Tout est livré pèle-mêle au public pour son plus grand désarroi. On ne parle que de la recherche anglo-saxonne alors que l’essentiel des découvertes décisives est françaises (sans oublier pour autant le STURP, d’ailleurs présent à Paris et à Rome).
L’évidence invincible
Rechercher la vérité impose donc, d’abord, de se limiter au petit nombre des sources scientifiques faisant autorité, des intervenants agissant chacun dans sa partie et mettant sa crédibilité professionnelle en jeu.
L’évidence de l’immense vérité scientifique qu’est le Linceul apparaît alors dans toute sa lumière, comme l’absurdité de son contraire : au nom du « Mystère » et de prétendus clivages on voudrait nous faire croire que la Science moderne n’est pas capable de faire la différence entre un authentique et un faux… de qui se moque-t-on !
Est est , non non. Telle est la vérité invincible dont témoigne la Démonstration à toute personne désireuse de connaître la vérité.

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Upinsky Arnaud-Aaron - 

Article Nouvel observateur

http://linceuldeturin.info/html/index-NO1.html

« En attendant le grand Suaire » ( Le Nouvel Observateur, 1-7 avril 2010 ).
Au delà des sempiternelles redites, qu’y a-t-il de neuf depuis vingt ans, dans cet article, sur l’authentification ? Quelle est l’optique d’ensemble imposée à l’opinion après l’effondrement du mythe du C14 qui restera la grande surprise de l’ouverture de l’ostension 2010 à la vue de la « nouvelle enquête » d’Arte ?
1.       Le lâchage du C14. Avec l’annonce de la datation au C14 de 1988, nous dit-on, le « camp » « des rationalistes d’une mauvaise foi totale, qui n’ont qu’un but : démontrer l’imposture » avait d’abord triomphé. « L’affaire semblait réglée. Elle ne l’était pas. D’autres chercheurs ont depuis réduit à néant cette théorie. Etc. » Le changement de ton est ici spectaculaire. Mais il aura fallu vingt ans pour en arriver là et le fait qu’avec Albin Michel et Arte, on envoie aujourd’hui un signal aussi fort à l’opinion donne la mesure du naufrage d’une datation au C14 désormais indéfendable. C’est la grande nouveauté.
2.       L’authentification impossible. Rien de nouveau, en revanche, du côté de l’authentification. L’article relaye complaisamment l’autosatisfaction béate d’un Frédéric Lenoir, directeur du « Monde des religions », qui «  s’amuse »  – c’est son terme – de ce qu’il appelle « le problème avec le Saint Suaire », à savoir, «  c’est qu’on est coincé (sic) entre des chercheurs croyants », obsédés d’authenticité et des « rationalistes d’une mauvaise foi totale » obsédés de « démontrer l’imposture ». Cette fausse symétrie vise à cacher l’essentiel, la mise hors la loi des authentiques scientifiques : de scientifiques, de symposium scientifiques et de méthode d’authentification, il ne saurait en être question dans cet article voué à la propagande. Quant à l’Eglise, l’article rapporte quelle est toujours « d’une prudence de sioux (sic) » et pour le Saint Siège « la question de l’éventuelle authenticité du Suaire n’en est pas une ». Le verrouillage de l’authentification est bien le mot d’ordre.
3.       Mystère, mystère bloquant tout. Relique, linceul, Suaire, la désignation du linge est flottante, indéfinie, équivoque. Rien n’est tenté pour dire ce qu’«est » cet objet présenté comme d’origine inconnu : «  Si c’est un faux, c’est un faux extraordinaire » conclut triomphalement l’article oubliant de dire qu’après 110 ans de recherche la Science, elle,conclut certainement à l’inverse du faux. Ayant mis la science et la vérité hors la loi, l’article n’a plus qu’à énumérer des « croyances » complaisantes telles que celles d’un Lenoir, alors que l’opinion est l’ennemi juré de la pensée. Pour verrouiller l’authentification l’article assène deux contre-vérités massive en attribuant aux scientifiques l’inverse de leur conclusion : « Mais tous (…) sont au moins d’accord sur un point : après des années de recherche (…) le mystère reste entier. ». Circulez il n’y a rien à comprendre reste le nouveau mot d’ordre, non plus au nom du défunt C14 mais au nom du « mystère », la nouvelle pierre philosophale des média ! 
Ainsi, obligés de lâcher le C14, les négateurs de l’évidence scientifique et de sa méthode n’en font pas moins comme si l’authenticité était toujours impossible à prouver, non plus en raison de la datation moyenâgeuse au C14 mais, cette fois-ci, au nom du « mystère » qui « miraculeusement », après un siècle de recherches concluantes n’en resterait pas moins entier, la belle arithmétique ! Le procédé d’illusionnisme revient à substituer un « faux mystère » à la « fausse datation au C14 ». Pour faire passer ce nouveau leurre, on ne fait, d’ailleurs, parler que des anglo-saxons, en escamotant totalement la recherche française : des fondateurs avant 1978 et des symposiums de Paris, de Rome, après 1989 ( auxquels tous les pays dont les Etats-Unis ont participé ). Car c’est la France qui a donné le fin mot de l’énigme… N’abandonner le ténébreux C14 que pour se retrancher derrière un nouveau « mystère », telle est donc la nouvelle vision de « l’impossible authentification » martelée à l’opinion par le tir groupé du trio groupé du Nouvel Observateur, d’Albin Michel et d’Arte



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